La décarbonation comme défi urgent pour l’industrie chimique

L’industrie chimique entre dans l’une des décennies les plus transformatrices de son histoire. À mesure que la pression réglementaire s’intensifie et que les objectifs climatiques mondiaux progressent, les opérateurs en Europe et au-delà doivent réduire significativement leurs émissions tout en maintenant l’efficacité de la production et la viabilité économique. Ce défi est particulièrement exigeant pour le secteur chimique, où les réactions à haute température, les composés corrosifs et les procédés énergivores rendent le chemin vers la décarbonation complexe et coûteux.

Dans ce contexte, les discussions qui ont lieu lors d’événements tels que PCH Meetings 2025 mettent en évidence un consensus clair au sein du secteur : les technologies de contrôle des émissions joueront un rôle déterminant pour combler l’écart entre la dépendance actuelle aux combustibles fossiles et les opérations à faible teneur en carbone de demain.

Alors que les solutions à long terme — notamment l’électrification, l’hydrogène vert et la refonte des procédés — progressent, beaucoup d’entre elles nécessitent des investissements substantiels, une adaptation des infrastructures et un déploiement sur plusieurs années. En revanche, les systèmes de lavage des gaz offrent une méthode immédiate et efficace pour réduire les émissions nocives, permettant aux usines chimiques de se conformer aux normes environnementales en évolution sans perturber la production en cours.

À mesure que le secteur évolue, l’adoption de technologies avancées de lavage, de biofiltration et de traitement des gaz s’impose comme une stratégie pratique et impactante pour soutenir les objectifs de décarbonation.

Chemical sector decarbonisation CO2

Pourquoi le contrôle des émissions est essentiel sur la voie vers le zéro net

Dépendance persistante aux procédés utilisant des combustibles fossiles

Malgré des engagements croissants en faveur de la neutralité climatique, l’industrie chimique reste structurellement dépendante de l’énergie et des matières premières d’origine fossile. Des procédés clés tels que le vapocraquage, la synthèse de l’ammoniac, la production de méthanol, la chloration ou la conversion du soufre nécessitent des températures et pressions élevées, et libèrent intrinsèquement des émissions volatiles et corrosives.

Ces opérations — dont beaucoup ont été optimisées pendant des décennies — ne peuvent pas être repensées du jour au lendemain. Les vapocraqueurs, qui produisent des molécules fondamentales comme l’éthylène et le propylène, figurent parmi les installations les plus énergivores du secteur. De même, les grandes usines d’ammoniac et de méthanol continuent de dépendre du gaz naturel à la fois comme matière première et comme source de chaleur.

En conséquence, même les entreprises engagées envers la neutralité climatique doivent gérer des émissions complexes comprenant :

  • Gaz acides (H₂S, SO₂, HCl, HF)

  • Ammoniac et amines

  • COV et composés oxygénés

  • Dérivés azotés

  • Gaz odorants produits lors de réactions secondaires ou dans les circuits d’eaux usées

Sans réduction efficace, ces émissions empêchent les usines de répondre aux exigences réglementaires et de progresser vers une décarbonation significative.

Solutions immédiates vs solutions à long terme

Alors que les efforts à long terme — électrification, matières premières alternatives, intégration de l’hydrogène ou réacteurs de nouvelle génération — sont en cours, ces technologies nécessitent des investissements majeurs et une transformation des infrastructures. Leur mise en œuvre se mesure en années, voire en décennies.

En revanche, les technologies de lavage des gaz offrent :

  • Réduction immédiate des émissions

  • Compatibilité avec l’infrastructure existante

  • Impact opérationnel faible

  • Alignement direct avec les réglementations environnementales actuelles

Les laveurs de gaz, biofiltres, systèmes de bio-percolation et unités d’adsorption peuvent être déployés en parallèle des procédés traditionnels, atténuant l’impact environnemental tandis que les entreprises travaillent à des transitions plus larges.

Pour cette raison, le contrôle des émissions n’est pas une mesure secondaire — c’est un pilier central du parcours de décarbonation. Il permet aux usines chimiques d’opérer de manière responsable aujourd’hui, tout en gagnant du temps pour investir dans les technologies de transformation de demain.

Technologies de lavage des gaz : un outil essentiel pour la décarbonation

Laveurs chimiques (lavage humide)

Les laveurs humides demeurent la technologie la plus utilisée pour le traitement des gaz industriels en raison de leur haute efficacité, de leur polyvalence et de leur compatibilité avec les environnements corrosifs. Dans un système de lavage humide, le gaz contaminé est mis en contact avec une solution liquide — souvent acide, basique ou oxydante — qui absorbe ou neutralise sélectivement les composés nocifs.

Les laveurs chimiques sont particulièrement efficaces pour éliminer :

  • Gaz acides (HCl, HF, SO₂)

  • Composés soufrés réduits (H₂S, mercaptans)

  • Ammoniac et dérivés azotés

  • Halogènes et familles de COV

Leur importance dans la décarbonation provient de leur capacité à :

  • Réduire immédiatement les émissions nocives

  • Permettre la conformité aux normes strictes IED et BAT

  • Traiter les émissions liées aux procédés dépendants des combustibles fossiles

  • Fonctionner en continu dans des environnements chimiques difficiles

Scrubber and react depot

Pour de nombreuses usines, les laveurs chimiques représentent la première et la plus directe des interventions pour maîtriser les émissions de portée 1 tout en maintenant la pleine capacité de production.

Laveurs biologiques (biofiltration et bio-percolation)

Les technologies biologiques gagnent en importance à mesure que l’industrie recherche des solutions avec des coûts opérationnels plus faibles et une empreinte carbone significativement réduite. Ces systèmes utilisent des microorganismes pour biodégrader les polluants en produits finaux inoffensifs tels que le CO₂, l’eau ou les sulfates.

Deux principales technologies biologiques se distinguent :

Biofiltration

Les flux gazeux sont acheminés à travers des supports organiques ou inorganiques contenant des populations microbiennes actives. Cette solution est idéale pour :

  • Composés odorants

  • COV biodégradables

  • Flux gazeux de concentration faible à moyenne

Les biofiltres nécessitent très peu d’énergie et ne génèrent pas d’effluents complexes, ce qui en fait l’une des technologies les plus propres disponibles.

Bio-percolation (Bio-TR)

Hybride entre le lavage humide et la biofiltration, les filtres de bio-percolation font circuler une phase liquide sur un garnissage structuré où se développent des biofilms.
Ils excellent dans :

  • Élimination du H₂S

  • Composés azotés

  • Charges élevées et fluctuantes

Leur contribution à la décarbonation réside dans :

  • Consommation énergétique extrêmement faible

  • Utilisation minimale de réactifs

  • Empreinte CO₂ réduite par rapport au lavage chimique

  • Haute efficacité pour les polluants courants dans les usines chimiques et les circuits d’eaux usées

biofiltration

Systèmes au charbon actif

L’adsorption sur charbon actif est une technologie robuste pour éliminer les COV persistants et certains polluants difficiles à absorber ou à biodégrader. Ces systèmes utilisent des supports poreux à base de carbone pour capturer les contaminants par adsorption physique ou chimique.

Les applications incluent :

  • Pics de COV et émissions épisodiques

  • Lignes de ventilation de réservoirs de stockage

  • Procédés contenant des traces de solvants

  • Contrôle des odeurs dans les zones industrielles confinées

Dans le contexte de la décarbonation, le charbon actif joue un rôle de soutien, complétant les laveurs et les systèmes biologiques pour atteindre un traitement complet des gaz. Ses avantages incluent :

  • Aucun effluent liquide

  • Haute efficacité d’élimination

  • Configurations modulaires et compactes

Carbon activated biogas plant

Comment les laveurs réduisent l’impact environnemental dans les usines chimiques

Réduction des émissions directes de CO₂ et de COV

Les systèmes de lavage des gaz jouent un rôle déterminant dans la réduction des émissions de portée 1, qui sont les émissions directes libérées par les procédés industriels. Bien que les laveurs n’éliminent pas le CO₂ généré par la combustion, ils réduisent significativement l’impact carbone indirect en éliminant les polluants qui contribuent aux pénalités opérationnelles liées au carbone, aux opérations de torchage et aux inefficacités des procédés thermiques.

De plus, de nombreux composés organiques volatils (COV) — solvants, hydrocarbures, aldéhydes, cétones — sont strictement réglementés en raison de leur impact climatique et sanitaire. Les laveurs avancés et les unités d’adsorption aident les usines à :

  • Assurer la conformité avec la directive sur les émissions industrielles (IED)
  • Réduire les émissions de COV qui contribuent à la formation secondaire de CO₂ et d’ozone

  • Prévenir la dispersion des odeurs qui entraîne des plaintes de la communauté et des amendes

  • Stabiliser les conditions de procédé, réduisant les pertes d’énergie

En contrôlant efficacement les émissions, les usines franchissent une étape mesurable vers la neutralité climatique et une meilleure performance environnementale.

Permettre des procédés plus propres durant la transition

L’un des plus grands défis du secteur chimique est que de nombreux procédés à fortes émissions ne peuvent pas être remplacés à court terme. Passer d’opérations fondées sur les combustibles fossiles à des systèmes électrifiés ou renouvelables nécessite une évolution technologique, des investissements et une refonte majeure.

Les technologies de lavage offrent toutefois un pont de transition. Elles permettent aux usines de :

  • Maintenir les volumes de production actuels

  • Réduire immédiatement les charges de polluants

  • Se conformer aux nouvelles limites environnementales

  • Éviter les arrêts opérationnels

  • Améliorer la sécurité sur le lieu de travail en empêchant les fuites de gaz corrosifs

Durant cette transition, le traitement des émissions devient la solution la plus accessible et la plus réaliste pour réduire l’empreinte environnementale tandis que les technologies à long terme arrivent à maturité.

Soutenir la circularité

Les systèmes de lavage soutiennent également les stratégies d’économie circulaire dans les industries chimiques et environnementales. Selon la configuration, ils permettent la récupération et la réutilisation de matériaux qui deviendraient autrement des déchets.

Les exemples incluent :

  • Régénération des solutions caustiques

  • Récupération des sulfates et nitrates issus du traitement des gaz

  • Recyclage de l’eau de procédé en circuits fermés

  • Réduction du besoin en médias de charbon actif jetables

  • Réduction des volumes de boues provenant des systèmes d’eaux usées

La circularité devient une attente réglementaire et un avantage compétitif. Les laveurs — en particulier lorsqu’ils sont intégrés à des systèmes de biofiltration ou de bio-percolation — aident les installations à récupérer davantage de ressources tout en émettant moins, réduisant ainsi les coûts opérationnels et les responsabilités environnementales.

Solutions de traitement des gaz de Tecnium pour un avenir à faible émission de carbone

Avec plus de 45 ans d’expérience dans les équipements de procédé résistants à la corrosion, Tecnium a développé un portefeuille complet de technologies de traitement et de dépollution des gaz conçues pour répondre aux défis industriels de la transition actuelle vers des opérations à faible émission de carbone. Ces systèmes accompagnent les usines chimiques, les installations pétrochimiques, les stations de traitement de l’eau et les fabricants industriels dans la réduction des émissions tout en maintenant l’efficacité opérationnelle.

TECNIUM-CHEM — Systèmes de lavage chimique

Conçues pour les procédés industriels générant des gaz acides, des brouillards alcalins, de l’ammoniac, des solvants ou des COV, les unités TECNIUM-CHEM offrent un lavage humide à haute efficacité avec une consommation de réactifs optimisée et une construction résistante à la corrosion.
Leur performance les rend adaptées pour :

  • Production de chlore-soude

  • Usines d’engrais et d’acide phosphorique

  • Réacteurs de synthèse chimique

  • Extraction des évents de réservoirs

  • Procédés chimiques des stations d’épuration (STEP)

Ces systèmes offrent une réduction immédiate des émissions et une conformité totale aux normes IED et BAT.

TECNIUM-BIO — Biofiltration pour les odeurs et les COV

Les biofiltres offrent une alternative durable au traitement chimique, en utilisant la dégradation microbienne naturelle pour éliminer les composés biodégradables.
Ils sont particulièrement efficaces pour :

  • Odeurs industrielles (H₂S, mercaptans, amines)

  • COV d’origine biologique ou organique

  • Émissions des stations de traitement des eaux usées

  • Compostage et gestion des boues

En évitant les réactifs chimiques et en réduisant les besoins énergétiques, les unités TECNIUM-BIO aident les usines à réduire à la fois les coûts opérationnels et l’empreinte carbone.

TECNIUM BIO-TR — Filtres de bio-percolation haute performance

Cette technologie avancée associe la stabilité du lavage chimique aux avantages environnementaux de la biofiltration.
Les réacteurs TECNIUM BIO-TR atteignent des efficacités d’élimination très élevées pour les émissions fluctuantes ou à forte charge telles que :

  • Sulfure d’hydrogène

  • Ammoniac

  • Composés azotés réduits

  • Mélanges d’odeurs complexes

Leur fonctionnement modulaire et automatisé les rend idéaux pour les grandes installations industrielles recherchant un contrôle des émissions durable et nécessitant peu de maintenance.

TECNIUM-K / TECNIUM-CARB — Systèmes d’adsorption haute performance

Lorsque des COV, des solvants ou des polluants organiques persistants nécessitent une finition ou une élimination spécifique, les systèmes d’adsorption offrent une solution compacte et efficace.
Ils utilisent du charbon actif, des médias imprégnés, des zéolites ou des alumines pour traiter :

  • Vapeurs de solvants

  • Pics intermittents de COV

  • Flux d’évents de réservoirs

  • Zones de stockage de produits chimiques

These systems complement scrubbing and biofiltration setups, ensuring full treatment coverage for emission-critical facilities.

TECNIUM-DEGAS — Stripping Systems for Dissolved Gases

TECNIUM-DEGAS units target contaminated waters containing dissolved gases such as:

  • Methane

  • H₂S

  • Ammonia

  • VOCs

Using packed-tower stripping, these systems ensure compliance before discharge or further treatment, closing the loop between air treatment and water quality control.

TECNIUM-RTO — Thermal Oxidation Units

For emissions where chemical or biological removal is not feasible, regenerative thermal oxidation (RTO) provides total destruction of VOCs and hazardous compounds.
TECNIUM-RTO technology is suited for:

  • High-VOC exhaust streams

  • Solvent-intensive industries

  • Chemical and pharmaceutical production

Avec une récupération de chaleur optimisée, ces unités soutiennent les objectifs de réduction du carbone en minimisant la consommation de carburant.

Enseignements tirés des PCH Meetings 2025

PCH Meetings 2025 réunit des décideurs de premier plan des secteurs chimique, pétrochimique, gazier et pharmaceutique, offrant une analyse stratégique de la manière dont les industries européennes abordent la transition vers des modèles de production plus propres et plus efficaces. Les thèmes mis en avant lors de cette édition reflètent l’urgence croissante en matière d’efficacité énergétique, de contrôle des émissions et de technologies de décarbonation, renforçant la pertinence des solutions proposées par Tecnium.

Efficacité énergétique et décarbonation : le cœur de la transformation industrielle

L’un des sujets centraux des PCH Meetings est la nécessité de réduire drastiquement les émissions tout en maintenant la compétitivité. La production chimique fait face à une pression croissante de la part des réglementations européennes et des objectifs mondiaux de durabilité, et les entreprises se concentrent sur des technologies qui produisent des résultats immédiats.
Le lavage des gaz, la biofiltration et les systèmes d’adsorption sont régulièrement cités parmi les voies les plus rapides et les plus efficaces pour se conformer aux nouvelles exigences de l’IED et du Green Deal.

Hydrogène et technologies propres émergentes

Plusieurs ateliers évaluent l’expansion des technologies liées à l’hydrogène, qui nécessitent des équipements robustes et résistants à la corrosion pour garantir un fonctionnement sûr et stable. Les procédés impliquant l’hydrogène, l’ammoniac, le méthanol ou le gaz de synthèse génèrent des émissions qui doivent être maîtrisées au moyen de systèmes avancés de lavage et de dégazage.
Cela s’aligne avec l’expertise de Tecnium dans la gestion des gaz hautement corrosifs et dans le respect des exigences environnementales des secteurs à forte intensité énergétique.

Environnement de procédé, utilités et sécurité industrielle

Les usines accordent une attention accrue à la fiabilité des utilités, de la ventilation, de la captation des gaz et de la stabilité de l’environnement de procédé. De nombreux défis opérationnels abordés lors de l’événement — de la gestion des odeurs à la maîtrise des COV en passant par la manipulation de gaz corrosifs — soulignent le rôle indispensable des réservoirs en PRV, des pompes centrifuges en plastique et des systèmes de traitement des gaz, autant de domaines dans lesquels Tecnium propose des solutions éprouvées et hautes performances.

Circularité et réduction des déchets

Une autre tendance majeure parmi les exposants et les conférences est l’évolution vers des pratiques circulaires, incluant la réutilisation des produits chimiques et la réduction des déchets opérationnels. Les systèmes de lavage biologiques et chimiques, en particulier lorsqu’ils sont optimisés pour la consommation de réactifs et la réutilisation de l’eau, jouent un rôle essentiel dans l’atteinte de ces objectifs.

Les solutions biologiques de Tecnium (TECNIUM-BIO et BIO-TR) s’inscrivent particulièrement dans cette transition, aidant les usines à réduire au minimum à la fois les émissions et l’impact environnemental.

Vers une industrie chimique plus propre

L’industrie chimique connaît une transformation profonde. Confrontées à la pression réglementaire, à la concurrence mondiale et à la nécessité urgente de réduire leur impact environnemental, les entreprises doivent concilier continuité opérationnelle et innovation technologique. Si la décarbonation profonde exigera finalement de nouvelles voies de production, des matières premières alternatives et l’électrification, la priorité immédiate est d’adopter des solutions efficaces de contrôle des émissions permettant aux usines d’opérer de manière responsable dès aujourd’hui.

Des technologies telles que le lavage chimique, la biofiltration, la bio-percolation et les systèmes d’adsorption avancés offrent au secteur les outils nécessaires pour stabiliser les émissions, améliorer la qualité de l’air et protéger à la fois les travailleurs et les communautés locales. Ces solutions constituent un pont pratique entre les procédés actuels encore dépendants des combustibles fossiles et les systèmes plus propres et plus efficaces qui définiront l’industrie dans les prochaines décennies.

Pour de nombreux opérateurs, la voie à suivre commence par la modernisation des infrastructures environnementales : captation des gaz corrosifs, réduction des COV, amélioration du contrôle des odeurs et augmentation de la circularité. Ces améliorations réduisent non seulement les émissions, mais aussi les coûts de maintenance, prolongent la durée de vie des équipements et garantissent la conformité avec un cadre réglementaire européen en évolution rapide.

Le message qui se dégage des PCH Meetings 2025 est clair : l’innovation dans le traitement des gaz et les équipements résistants à la corrosion n’est plus optionnelle — elle est stratégique. Les entreprises qui investissent tôt dans ces technologies seront mieux placées pour répondre aux obligations environnementales, rester compétitives et accélérer leur transition vers un avenir à faible émission de carbone.

Collaborez avec Tecnium pour accélérer votre stratégie de décarbonation

Atteindre une industrie chimique à faible émission de carbone nécessite des technologies fiables, efficaces et capables d’offrir des bénéfices environnementaux mesurables dès aujourd’hui. Tecnium accompagne les opérateurs industriels du monde entier avec des équipements résistants à la corrosion, des systèmes de traitement des gaz et des solutions clés en main de contrôle des émissions conçus pour répondre aux défis de la production chimique moderne.

Que votre installation cherche à réduire les COV, maîtriser les gaz corrosifs, améliorer la gestion des odeurs ou mettre en œuvre des alternatives de traitement biologique, l’équipe d’ingénierie de Tecnium peut vous aider à identifier la solution la plus efficace pour vos conditions de procédé spécifiques.

Si votre entreprise se prépare à de nouvelles exigences environnementales ou prévoit d’investir dans des technologies plus propres, Tecnium est prêt à vous accompagner.
Contactez nos spécialistes pour discuter de votre projet, demander des spécifications techniques ou planifier une rencontre lors des PCH Meetings 2025 à Lyon.

Contactez-nous pour amorcer votre transition vers des opérations industrielles plus propres et plus efficaces.

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